Lorsque Pininfarina a conçu la Mondial, elle a fait un excellent travail et le public a apprécié la voiture de Detroit à Tokyo.
En Europe, c’était déjà un roi incontesté de la quatre places rapide.
En 1985, Ferrari a offert à ses clients ce qu’ils ont toujours demandé : plus de puissance. La première génération du Mondial a eu du mal en 1980 avec un moteur de 205 ch, et les gens n’aimaient pas ça. Il y avait des berlines familiales avec plus de puissance que cela. En 1982, Ferrari a introduit le système à quatre soupapes par cylindre qui a augmenté la puissance à 240 ch; proche, mais pas de cigare. Puis, en 1985, il est venu avec la vraie affaire : le Mondial de 3,2 litres qui offrait 40 ch sur le Mondial Quatrovalvole.
Heureusement, les liftings n’ont pas altéré l’apparence de la voiture. Elle avait toujours une forme nette à l’avant avec ses phares escamotables, et la calandre devant les roues arrière était déjà un détail signature de Ferrari. La marque au cheval cabré s’est même vantée qu’il s’agissait d’un excellent véhicule pour les longs trajets et qu’il pouvait transporter des bagages avec lui.
À l’intérieur, Ferrari a essayé de rendre le coupé 2+2 adapté à quatre occupants de taille adulte, mais la plupart des propriétaires du Mondial ne l’ont utilisé que pour deux dans la vraie vie. Cela n’a pas empêché le constructeur automobile italien d’utiliser des revêtements en cuir coûteux sur les quatre sièges et autour de la cabine. Ferrari a également utilisé les mêmes matériaux coûteux pour recouvrir la partie inférieure du tableau de bord.
Pour faire place à un intérieur à quatre places, Ferrari a installé le moteur à l’arrière, au-dessus de l’essieu arrière. Entre le V8 de 3,2 litres et le panneau arrière, le constructeur a fait de la place pour un coffre, promettant de garder vos aliments au chaud au retour d’un drive-in !