La première voiture électrique grand public au monde était basée sur un châssis Lotus : la Tesla Roadster.
Maintenant, Lotus lance sa première supercar entièrement électrique. Et quand Lotus dit supercar, c’est le sens. La nouvelle Evija peut mettre les modèles de Tesla dans une situation risquée sur la piste d’accélération.

Lotus est le seul constructeur automobile britannique qui ne se préoccupait que des voitures de sport ou, en guise de compromis, des voitures rapides. Elle est maintenant de retour sur le marché avec la nouvelle supercar Evija. Une voiture construite avec l’héritage du sport automobile et les technologies de course.

À l’intérieur, il y a beaucoup de commandes inspirées des avions. Le volant n’est pas tout à fait une roue. Cela ressemble plus à un rectangle avec des boutons. Beaucoup de boutons. Sur la console centrale, il y a une barre avec de nombreux boutons pour diverses fonctions du véhicule. Mais, les choses les plus importantes sont du côté des performances.

L’Evija est équipée de quatre moteurs électriques de 500 ch, chacun monté transversalement sur les essieux avant et arrière de la voiture. Ils sont surveillés et contrôlés par des ordinateurs. Au total, ils produisent un couple massif de 1 700 Nm (1 253 lb-pi). Les moteurs sont alimentés par une batterie fournie par Williams Advanced Engineering dans le cadre d’une joint-venture avec Lotus sur les technologies de propulsion avancées. Il a une capacité de 2000 kWh et peut assurer une autonomie WLTP de 400 km (250 miles). Le sprint de 0 à 62 mph (100 km/h) prend moins de trois secondes, 62-125 mph (100-200 km/h) prend encore trois secondes et le sprint 124-186 mph (200-300 km/h) est réalisé en quatre secondes supplémentaires . La vitesse maximale est de 211 mph (340 km/h).