La crise économique mondiale était passée et le petit roadster premium était prêt à trouver ses nouveaux clients.
Il a changé de look et est venu avec une transmission améliorée.
Au Salon de l’automobile de Genève 2011, la SLK a été dévoilée et elle a baissé son toit derrière les sièges. Il s’agissait de la troisième génération du célèbre roadster Mercedes-Benz. Il était plus long et plus large que son prédécesseur. Pourtant, il pesait le même.
Lorsqu’elle a été dévoilée, ce fut un choc : elle ressemblait au modèle Mercedes-Benz SL de la même année, juste en plus petit. Les nouveaux phares ramenés au-dessus des ailes et la large calandre trapézoïdale s’inspirent de son grand frère. Le grand insigne étoile à trois branches était accompagné de deux ailes argentées. Sur le tablier, il y avait une autre calandre pour refroidir le moteur et deux écopes latérales pour refroidir les freins et accueillir les feux diurnes. Sur les ailes avant, les concepteurs ont placé des évents d’extraction. Derrière les passagers, il y avait deux arceaux de sécurité.
A l’intérieur, la voiture était équipée de deux sièges baquets avec ceintures de sécurité incorporées. Le volant à trois branches inspirait une sensation sportive et ce n’était pas le seul élément spécifique. Les bouches d’aération étaient entourées d’anneaux chromés. Un écran pour l’unité d’infodivertissement a été placé au-dessus de la console centrale, au même niveau que le volant.
Sous le capot, la SLK 2011 était proposée avec un choix de moteurs à essence et diesel. La transmission standard était une manuelle à 6 vitesses pour le moteur à essence de 184 ch et pour le turbodiesel de 204 ch également. Le reste de la gamme était équipé d’une boîte automatique à 7 rapports.