Premier pick-up jamais sorti par Renault, l’Alaskan était un véhicule massif, robuste et bien fini.
La Renault Alaskan avait un design musclé qui plaisait beaucoup à ceux qui recherchaient l’aventure.

La plupart des composants ont été empruntés au grand frère Nissan Navara, à l’exception du capot, des ailes, de l’avant et de l’arrière, ainsi que des roues. De plus, l’Alaskan a été produit à l’usine Nissan de Barcelone.

Au moins, l’Alaskan était équipé d’un moteur français repris du fourgon Master, le bloc 2,3 litres développant 160 ou 190 ch.

L’intérieur était simple, classique et bien agencé, cependant, il avait l’air et se sentait daté de 2016. Les plastiques n’étaient pas très raffinés, cependant, les commandes étaient placées intuitivement et à portée de main.

Avec une rigidité accrue du châssis, l’Alaskan disposait d’une capacité de remorquage de 3,5 tonnes. Alors qu’un châssis plus rigide devrait compromettre le confort, la suspension arrière à cinq bras a maintenu la conduite aussi confortable que possible, car l’Alaskan était, après tout, un utilitaire professionnel 4x4 plutôt qu’un véhicule de luxe.

Avec une généreuse garde au sol de plus de 22 centimètres, l’Alaskan gère sans problème les routes caillouteuses ou boueuses.

Comme prévu, la conduite n’était pas très précise, chose très courante chez les pick-up. Les demi-tours dans les rues étroites étaient fastidieux et conduire l’Alaskan dans le trafic urbain n’était pas une option.

L’Alaskan a été conçu pour les personnes vivant à la campagne.