Toyota n’a pas eu beaucoup de succès dans le segment européen des citadines, mais les choses ont changé lorsque la Yaris a vu le jour.
La Toyota Yaris a été révélée au public en 1999 sous la forme d’une berline 3 ou 5 portes.
Pour s’assurer que la petite voiture plairait aux Européens, ils ont fait concevoir la Yaris en Europe.
La Yaris était dotée d’un toit surélevé et d’un plancher bas qui garantissaient un accès facile, ainsi qu’une grande hauteur libre pour tous ses occupants.
Esthétiquement, la petite Yaris n’avait pas vraiment l’air haute couture mais avait un design extérieur plutôt joyeux avec les phares surdimensionnés et la calandre chromée intégrée au capot.
À l’intérieur, le tableau de bord traditionnel a été remplacé par un module central avec un affichage numérique des informations. Le constructeur automobile a estimé que c’était plus sûr puisque le conducteur pouvait garder un œil sur l’écran et continuer à voir la route devant lui. Nissan a essayé la même configuration avec la Primera et cela n’a pas bien fonctionné. Les pilotes avaient une habitude différente et ils ne voulaient pas en changer.
L’intérieur était solide et avait l’air bien construit, cependant, les plastiques gris utilisés donnaient à la cabine un aspect terne.
Côté espace, la cabine de la Yaris peut accueillir 4 adultes dans un grand confort.
Lorsque Toyota a construit la Yaris, ils l’ont fait avec trois mots en tête : abordable, économique et pratique. Ainsi, quel que soit le choix du moteur, 1,0 litre ou 1,3 litre, la Yaris est dotée d’une faible consommation de carburant et d’une puissance suffisante pour la conduite en ville.
Selon le niveau de finition, la Yaris pourrait être équipée de la climatisation, de jantes en alliage et d’une radio CD, d’une direction assistée et autres.
La Yaris de Toyota a remporté le titre de Voiture européenne de l’année en 2000, au détriment de Fiat Multipla et Opel Zafira.