La Fiat Seicento a été produite en Pologne à partir de 1998.
Ce modèle était la version améliorée du Cinquecento et il semble que Fiat ait gardé les bonnes choses et abandonné les défauts de son prédécesseur. Dans sa catégorie, Ford et Seat avaient déjà dévoilé leurs citadines, et Fiat essayait de sortir un modèle qui donnait l’impression de conduire une plus grosse voiture, ainsi, lança la Seicento, qui eut un énorme succès.

La première génération du Seicento est sortie en 1998 et était disponible en trois niveaux de finition : S, SX et un modèle Sporting. Les deux premiers étaient équipés d’un moteur de 900 cm3, tandis que le modèle Sporting avait un moteur de 1100 cm3 déjà connu du public car disponible sur le Cinquecento.

Plus tard en 1998, Fiat a lancé la version Citymatic de Seicento, qui avait un embrayage automatique. Le Citymatic a été abandonné en 2001 lorsque tous les modèles proposés étaient alors équipés d’un moteur Fire de 1100 cm3. En 2003, une version lifting est sortie et la S a été remplacée par la Mia, respectivement la SX par la finition de niveau Active. La voiture a reçu de nouveaux enjoliveurs et une nouvelle sellerie.

La Sporting était la version la plus populaire, car elle était équipée de sièges sport, de jantes en alliage, de phares antibrouillard avant et d’un volant en cuir. Le prix de la voiture était aussi bas que 4 990 £ au Royaume-Uni dans le niveau de finition standard.

Fiat a présenté le Seicento en remplacement du modèle Cinquecento, mais avec un succès commercial limité.
Après la 500, Fiat a désespérément essayé de construire une voiture pour avoir le même succès sur le marché. La plupart des tentatives n’ont pas réussi à plaire au marché. La Seicento a réessayé, avec comme arguments la facilité de conduite et un meilleur équipement de la voiture.

Courte, petite et étroite, la Fiat Seicento (600) était un véhicule à trois portes capable de bien traverser la circulation urbaine. Même si elle était proposée exclusivement avec trois portes, ses attributs étaient la maniabilité, une grande efficacité énergétique et une visibilité suffisante autour de la voiture. Enfin, il était suffisamment petit pour tenir dans des espaces de stationnement étroits. Les petits phares et la calandre inhabituellement grande dans le pare-chocs inférieur donnaient l’impression que le véhicule souriait.

À l’intérieur, il y avait beaucoup de place pour les occupants avant mais très limité pour ceux des sièges arrière. Le coffre était plus petit qu’un caddie ordinaire mais suffisamment grand pour contenir une paire de chaussures de bureau et une mallette. Le groupe d’instruments affichait la vitesse, la température du liquide de refroidissement et le niveau de carburant.

Sous le capot, le Seicento (six cents en italien) était équipé d’un moteur de 0,9 litre, mis à niveau plus tard vers une unité de 1,1 litre (Seicento Sporting). Les deux versions étaient couplées à une boîte manuelle à 5 vitesses. Pour les performances, disons que c’était exagéré, avec un 0 à 100 km/h exécuté en 18 secondes pour la version inférieure et près de 14 secondes pour la version supérieure.